La Porte
Je suis la porte au pied de l’Arbre
Elle ouvre sur le retour des âmes mises en esclaves
Non pas par le cérémonial du Veau doux
Qui ne nous a pas empêché de partir
Mais par la demande de repentir
Et le Dhikr de demande de retour
Par nos traîtres frères de cœurs
Nous sommes séparés de la Terre
Qui nous a vu naître et paître
Nous possédons les Corps innocents
Des civilisations du Futur
Blâmées pour le poids de leur ignorance
Du Mystique Stratégique et
Du Traditionnel Informel
Dont nous aurions dû être les dépositaires
Pour cette nouvelle civilisation de l’âme
Nous souhaitons recycler le séjour de l’éther
Enfer dans la conception de leurs Pères
Simple séjour des morts pour nos Ancêtres
Au Quart Cheikh de l’Économie et l’Écologie pour la Vie car
Sans Kama nous ne connaissons toujours pas Sion
Car leur Passions ne nous permettent pas l’élection ni l’élévation
Par initiation ou invitation, Mérite et Grâce des Seigneurs
Ils sont dans l’ignorance de nos esprits qui les transportent
Ajoutant les leurs comme leurres à notre charge de Jour
Pour être rappelé avec nous à l’abandon de nos corps
Un trouble d’Animus par l’occis Dan et son azie, œuf, jaune
Qui ont su occasionner la mort mais pas su la gérer
Nous mourrons sur des Arbres coupés dans la Terre des ori djinn
Nous possédons de nouvelles pousses
Nées loin de notre Terre de dieux à jamais à Dieu
Nous errons de lieux en lieux
De dieux en dieux sans avoir d’adieux ni être odieux
Nous errons d’Heures en Heures
Sans que l’Âme Éric, auteur du trafic, reviennent en “A fric”
Celle qui nous hait et celle qui nous a battu
Et construit la haie contre leur haine
Rendant dociles des générations
De guerriers ne criant plus vengeance
N’appelant plus au CRI contre eux
mais lisant leur écrits sur le CRI St de l’Univers
Pacifique et Pathétique pour l’Évitement et la Technique
Absorbant les guerres que son Collègue Mahdi Aborde avec les dents
Ce Crétin et ce Malin qu’ils ont en eux sont Martyre et Immortel
Mais ils choisissent de peupler les chapelles et non les échappées belles.
Que les Hommes Noirs exilés reviennent se décharger
De la possession qu’ils font de leur Corps
Par l’apprentissage de nos Verbes et de nos Herbes
Qu’ils Redeviennent Héros, Roi, soldats et Amazones
Pour recréer le lien entre l’héritage et l’avenir de notre civilisation
Appelée à l’Essor loin des mauvais sorts
L’a-guère et l’Âme ère
Jadis me dit mon père Ayimè,
Les villages s’animaient autour des Ahimès
Voyageurs, commerçants et habitants locaux
Se rencontraient pour les même halos CO.
Ceux d’une communauté
Ceux d’une communauté économique
Puis vint la dèche, peut-être d’Ardèche
Dans un air d’échus invitant déçus à les aider d’écus
Et combler leur guère de nos armes sincères
Certains levèrent le bras
On leur senti les aisselles
D’autres montrèrent leur Bra
Ils salivèrent de leur vices selles
Depuis l’a-guère continue et se répand
Et se repent et se répond
Tandis que nos âmes errent en continu
En serpent dûs
En Serfs pendus
en serre pan d’us
La Terre autrefois si claire
Se voile de nécessités
On y voit rien et nos côtés dorent
Dans l’éther « nail » de la Terre et du Monde
Et c’est l’a-guère et les âmes errent :
Âmes à fric, Âmes à freak, Âmes héroïques
Âmes dans l’slip, Âmes une nique, Âmes électriques
Âmes à triques, Âmes à zique, Âmes nées ziques
Âmes féeriques, Âmes à zones, Âmes Mer indien,
Âmes méridien, Âmes détruites, Âme des truites…
Mais où sont donc toutes ces Âmes Éric? À fric?
En « You! Rope! » et En « Na Zin »
Nos cousins qu’on sème de tant en temps
Ainsi qu’En « O C’est un nid » ou « Oh! C’est Annie »
Isolés pour pondre et con prendre
C’est le même besoin qu’à l’envers
Simple cale en vert
Le calandre vert, penchant entre le Rouge et le Noir
Le Blanc et Jaune, par le Point final
Ô Amma, elles errent pour le fric.
C’Est pathétique mais pas Tes TICs
Et maintenant c’est l’a-guère
Seul l’effort nous rendra fier dans cet ère
Sans airs ni aires
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